Management-RH

On travaille à la maison… mais pas que…

Quand on travaille chez soi, on ne se contente pas toujours uniquement de travailler. Avouez-le, vous avez certainement au moins une fois lancé une machine à laver, regardé la TV ou préparé le dîner du soir ? Cela ne vous empêche bien évidemment pas d’être productif, mais le « hic », c’est qu’on peut assez vite se laisser distraire par ce genre d’activités. L’infographie ci-dessous de OnlineDegrees nous détaille tout ça, en plus de fournir quelques statistiques supplémentaires sur le travail à domicile.

Mon conseil : faites ce que vous avez à faire avant de démarrer votre journée. Cela vous évite d’y penser et ainsi d’être plus concentré !

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Emilie Marquois

Community manager et rédactrice de Zevillage. Consultante Médias Sociaux, Community Manager mais aussi geek, fan de rugby et de pâtisserie.

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3 commentaires

  1. Olivier, tu le dis toi même à propos de ce genre d’infographie : que veut dire « boire de l’alcoll » ? Une petite bière dans la journée ou une bouteille de whisky ?

    Dans le 1er cas, alors 80% des travailleurs au bureau boivent un coup au déjeuner 😉

    C’est aussi un problème de santé publique qui n’a rien à voir avec le télétravail heureusement

  2. Le concept est bien, mais moi aussi j’ai du mal à comprendre les chiffres…
    Travailler à la maison 29% au bureau 37% les deux 34%….
    Donc soit on bosse chez soi? Ou alors on vit au bureau.
    Est ce vraiment un travail proprement dit de faire sa machine à laver ou la vaisselle?
    Il faudrait une illustration à ce sujet!

  3. L’auto-discipline est la base d’une bonne efficacité en télétravail. Mais c’est le même probléme pour ceux qui sont au bureau.

    Celui qui n’a pas envie de travailler en fera moins quelle que soit le lieu.

    Je suis salarié d’une entreprise en « full télétravail » (17 salariés, un jour de présence toutes les 6 semaines pour les développeurs, et un jour par semaine pour les managers).

    La différence en terme de management c’est qu’il faut faire confiance à nos équipes. Chacun doit être responsabilisé.
    L’équipe que je gère est autonome sur beaucoup de chose. Je ne fait que leur simplifier la vie en organisant leur planning et en faisant le lien avec les clients. Mais si un développeur pense qu’il vaut mieux faire autrement que ce que j’ai suggéré il va me le dire, et nous allons en discuter. Tout cela dans l’intèrêt du client finale et du bien être de l’équipe.

    Pierre

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